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comment bien choisir son miel
hygiène de vie

Comment bien choisir son miel et quelles sont ses vertus ?

18 février 2022

Ce n’est sûrement pas la première fois que tu lis quelqu’un vanter le miel et ses mille vertus. Mais pour pleinement profiter de ces dernières, faut-il encore savoir le choisir…


À l’origine de ton miel, tu veilleras

Bien choisir son miel, c’est avant tout miser sur un produit local et donc, d’origine France (à moins que tu ne me lises d’ailleurs ?). L’idéal, c’est que cette origine soit précise (nom et adresse de l’apiculteur) et accompagnée de la mention “récolté et mis en pot par l’apiculteur”.

Ainsi, je ne peux que te conseiller de te rendre, si tu as la chance d’en avoir un près de chez toi, dans un point de vente proposant un miel d’apiculteur local et/ou de te rendre directement chez ce dernier.

Notre mot d’ordre : traçabilité. On évitera donc les “mélanges de miels originaires de l’UE” et “hors UE”.

En effet, lorsque l’origine du miel est vague, il est possible que le produit présente, entre autres, une adultération (ajout d’eau ou de sucres artificiels) ou encore la présence de traces d’antibiotiques et de pesticides. De ce fait, le miel pourrait te faire plus de mal que de bien…

Pour t’aiguiller, des laboratoires spécialisés comme le C.E.T.A.M analysent certains miels afin d’en assurer la bonne qualité et donc, l’absence d’additifs et/ou de produits chimiques dans ces derniers.

Un miel non traité, brut et non chauffé, tu choisiras

Un miel peu filtré permet également de conserver les différentes enzymes, vitamines, minéraux, oligo-éléments et vertus de ce dernier.

Il est aussi intéressant de noter que le miel, contrairement au lait, contient son propre antibiotique et n’a ainsi pas besoin d’être pasteurisé.

Les signes officiels de qualité, tu regarderas

Je pense notamment aux labels IGP, AOC et AOP qui certifient de bonnes conditions d’élaboration du miel.

Le label bio fait également partie des critères d’un bon miel. Bien qu’il soit aujourd’hui impossible d’affirmer que les abeilles ne butinent que des cultures bio, un miel labellisé bio contiendra toujours moins de substances néfastes (pesticides, médicaments) qu’un autre.

Un miel monofloral, tu privilégieras

En effet, les miels monofloraux (acacia, châtaignier, lavande, tilleul, sapin) permettent de bénéficier de vertus bien spécifiques.

De ses vertus, tu jouiras

Dans son livre “Les richesses de la ruche”, Stéphanie Bruneau, apicultrice, qualifie le miel de “meilleur sirop que la nature puisse offrir” et ce n’est définitivement pas sans raison.

Nous sommes aujourd’hui nombreux à connaître ses propriétés antifongiques, antivirales et antibactériennes. Parmi les vertus du miels, on note :

Son rôle dans la santé intestinale

Légèrement acide, le miel inhibe la croissance des agents pathogènes. Il permettrait notamment d’enrayer la croissance de l’Hélicobacter pylori, une bactérie bien connue pour être responsable de la majorité des ulcères de l’estomac.

En contrepartie, il favorise la production de bonnes bactéries connues sous le nom de bifidobactéries et lactobacilles. C’est pourquoi, en raison de ses qualités prébiotiques, le miel pourra être apprécié dans certains cas de déséquilibres bactériens.

Son atout dans les soins de la peau

Le savais-tu ? Le miel est hygroscopique, c’est-à-dire qu’il favorise la rétention d’eau, permettant ainsi d’assurer une bonne hydratation de la peau. Pour bénéficier de ses vertus, tu peux, par exemple, laisser poser une fine couche de miel de qualité sur ta peau pendant une dizaine de minutes avant de rincer ton visage à l’eau tiède.

Halte aux radicaux libres

Une autre des qualités du miel est sa richesse en antioxydants : les flavonoïdes. Ces derniers aident notamment à lutter contre les radicaux libres et le vieillissement, mais aussi à favoriser un certain apaisement en cas d’insomnie ou d’irritabilité.

Bon à savoir : plus les miels sont foncés (comme le miel de sarrasin), plus ils sont riches en flavonoïdes.

Un précieux allié pour la sphère ORL

Selon de récentes études (British Medical Journal, 2020), le miel serait plus efficace que certains traitements en cas de troubles ORL dont les maux de gorge et la toux. Associé à certaines huiles essentielles, son efficacité s’avère redoutable !

Attention : avant toute utilisation d’une huile essentielle je te conseille vivement de consulter un professionnel de santé et/ou formé à l’aromathérapie. Il s’agit-là de produits puissants présentant certaines contre-indications.

Le conseil de saison

À l’heure où j’écris cet article, nous sommes en plein hiver et nous parlons souvent de fatigue saisonnière, celle-ci menant ensuite à une baisse des défenses immunitaires. Par sa richesse en vitamines et oligo-éléments, le miel constitue un allié de choix pour assurer un apport nutritionnel de qualité et donner un coup de boost à ton organisme !

Malgré tout ce que l’on sait sur eux, les produits de la ruche restent de véritables mystères de la nature. Je pourrais t’en parler pendant des heures… D’ailleurs, n’hésite pas à me dire en commentaire si un autre article sur ce sujet pourrait t’intéresser !

Note importante : ne jamais donner de miel à un enfant de moins d’un an et/ou allergique au venin d’abeille.

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TAGS:fatigue saisonnièrehivermielprébiotiquessanté intestinalesoins de la peautroubles ORL
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2 mois ago
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Le problème, ce n’est pas de boire un verre d’alcool de temps en temps, mais d’insister pour que quelqu’un en fasse de même.
 
Quand on sait que l’alcool est l’une des substances psychoactives les plus consommées et constituant le 3ème facteur de risque de maladie et d’invalidité au monde, on peut affirmer que la pression sociale liée à la consommation d’alcool est un véritable fléau.
 
Bien que certaines études (dont celles sur lesquelles je me suis appuyée pour la rédaction de ce post) confèrent à l’alcool certains facteurs protecteurs, notamment contre le développement du goitre (élargissement anormal de la glande thyroïde) ou encore dans la prévention de l'hypothyroïdie auto-immune et d’autres pathologies, et remettent en doute la « nocivité dès le premier verre », on ne peut pas nier ses effets délétères sur l’ensemble du corps, comme on ne peut pas, à mon sens, continuer de tolérer la pression sociale liée à la consommation d’alcool.
 
Alors si tu te sens concerné(e) car trop souvent confronté(e) à cette pression, n’hésite pas à partager ce post autour de toi.
 
P.S. : Pousser son pote à boire un verre alors qu’il n’en a pas envie, ce n’est vraiment pas lui vouloir du bien. 😉
 
Sources utilisées :
 
• Podcast « #011 The Systemics Effects of Alcohol » avec @dr.stacy.nd. Disponible sur Spotify.
 
• « Alcoholism and its effects on the central nervous system », Sukhes Mukheriee.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23713737/
 
• « Alcohol and Health Series: Alcohol and the Body », Alberta Health Services.
https://www.albertahealthservices.ca/assets/info/amh/if-amh-alcohol-and-the-human-body.pdf 
 
• « Impact of alcohol use on thyroid function », Yatan Pal Singh Balhara et Koushik Sinha Deb.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3743356/#:~:text=The%20fact%20that%20alcohol%20causes,stimulation%20is%20open%20to%20speculation 
 
• « The Impact Of Alcohol Use On Thyroid Function », Katie Wilkinson.
https://www.palomahealth.com/learn/the-impact-of-alcohol-use-on-thyroid-function
 
• « Peer Pressure and Alcohol », Matt Gonzales.
https://www.drugrehab.com/addiction/alcohol/peer-pressure/
Le problème, ce n’est pas de boire un verre d’alcool de temps en temps, mais d’insister pour que quelqu’un en fasse de même.
 
Quand on sait que l’alcool est l’une des substances psychoactives les plus consommées et constituant le 3ème facteur de risque de maladie et d’invalidité au monde, on peut affirmer que la pression sociale liée à la consommation d’alcool est un véritable fléau.
 
Bien que certaines études (dont celles sur lesquelles je me suis appuyée pour la rédaction de ce post) confèrent à l’alcool certains facteurs protecteurs, notamment contre le développement du goitre (élargissement anormal de la glande thyroïde) ou encore dans la prévention de l'hypothyroïdie auto-immune et d’autres pathologies, et remettent en doute la « nocivité dès le premier verre », on ne peut pas nier ses effets délétères sur l’ensemble du corps, comme on ne peut pas, à mon sens, continuer de tolérer la pression sociale liée à la consommation d’alcool.
 
Alors si tu te sens concerné(e) car trop souvent confronté(e) à cette pression, n’hésite pas à partager ce post autour de toi.
 
P.S. : Pousser son pote à boire un verre alors qu’il n’en a pas envie, ce n’est vraiment pas lui vouloir du bien. 😉
 
Sources utilisées :
 
• Podcast « #011 The Systemics Effects of Alcohol » avec @dr.stacy.nd. Disponible sur Spotify.
 
• « Alcoholism and its effects on the central nervous system », Sukhes Mukheriee.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23713737/
 
• « Alcohol and Health Series: Alcohol and the Body », Alberta Health Services.
https://www.albertahealthservices.ca/assets/info/amh/if-amh-alcohol-and-the-human-body.pdf 
 
• « Impact of alcohol use on thyroid function », Yatan Pal Singh Balhara et Koushik Sinha Deb.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3743356/#:~:text=The%20fact%20that%20alcohol%20causes,stimulation%20is%20open%20to%20speculation 
 
• « The Impact Of Alcohol Use On Thyroid Function », Katie Wilkinson.
https://www.palomahealth.com/learn/the-impact-of-alcohol-use-on-thyroid-function
 
• « Peer Pressure and Alcohol », Matt Gonzales.
https://www.drugrehab.com/addiction/alcohol/peer-pressure/
Le problème, ce n’est pas de boire un verre d’alcool de temps en temps, mais d’insister pour que quelqu’un en fasse de même.
 
Quand on sait que l’alcool est l’une des substances psychoactives les plus consommées et constituant le 3ème facteur de risque de maladie et d’invalidité au monde, on peut affirmer que la pression sociale liée à la consommation d’alcool est un véritable fléau.
 
Bien que certaines études (dont celles sur lesquelles je me suis appuyée pour la rédaction de ce post) confèrent à l’alcool certains facteurs protecteurs, notamment contre le développement du goitre (élargissement anormal de la glande thyroïde) ou encore dans la prévention de l'hypothyroïdie auto-immune et d’autres pathologies, et remettent en doute la « nocivité dès le premier verre », on ne peut pas nier ses effets délétères sur l’ensemble du corps, comme on ne peut pas, à mon sens, continuer de tolérer la pression sociale liée à la consommation d’alcool.
 
Alors si tu te sens concerné(e) car trop souvent confronté(e) à cette pression, n’hésite pas à partager ce post autour de toi.
 
P.S. : Pousser son pote à boire un verre alors qu’il n’en a pas envie, ce n’est vraiment pas lui vouloir du bien. 😉
 
Sources utilisées :
 
• Podcast « #011 The Systemics Effects of Alcohol » avec @dr.stacy.nd. Disponible sur Spotify.
 
• « Alcoholism and its effects on the central nervous system », Sukhes Mukheriee.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23713737/
 
• « Alcohol and Health Series: Alcohol and the Body », Alberta Health Services.
https://www.albertahealthservices.ca/assets/info/amh/if-amh-alcohol-and-the-human-body.pdf 
 
• « Impact of alcohol use on thyroid function », Yatan Pal Singh Balhara et Koushik Sinha Deb.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3743356/#:~:text=The%20fact%20that%20alcohol%20causes,stimulation%20is%20open%20to%20speculation 
 
• « The Impact Of Alcohol Use On Thyroid Function », Katie Wilkinson.
https://www.palomahealth.com/learn/the-impact-of-alcohol-use-on-thyroid-function
 
• « Peer Pressure and Alcohol », Matt Gonzales.
https://www.drugrehab.com/addiction/alcohol/peer-pressure/
Le problème, ce n’est pas de boire un verre d’alcool de temps en temps, mais d’insister pour que quelqu’un en fasse de même.
 
Quand on sait que l’alcool est l’une des substances psychoactives les plus consommées et constituant le 3ème facteur de risque de maladie et d’invalidité au monde, on peut affirmer que la pression sociale liée à la consommation d’alcool est un véritable fléau.
 
Bien que certaines études (dont celles sur lesquelles je me suis appuyée pour la rédaction de ce post) confèrent à l’alcool certains facteurs protecteurs, notamment contre le développement du goitre (élargissement anormal de la glande thyroïde) ou encore dans la prévention de l'hypothyroïdie auto-immune et d’autres pathologies, et remettent en doute la « nocivité dès le premier verre », on ne peut pas nier ses effets délétères sur l’ensemble du corps, comme on ne peut pas, à mon sens, continuer de tolérer la pression sociale liée à la consommation d’alcool.
 
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P.S. : Pousser son pote à boire un verre alors qu’il n’en a pas envie, ce n’est vraiment pas lui vouloir du bien. 😉
 
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• Podcast « #011 The Systemics Effects of Alcohol » avec @dr.stacy.nd. Disponible sur Spotify.
 
• « Alcoholism and its effects on the central nervous system », Sukhes Mukheriee.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23713737/
 
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https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3743356/#:~:text=The%20fact%20that%20alcohol%20causes,stimulation%20is%20open%20to%20speculation 
 
• « The Impact Of Alcohol Use On Thyroid Function », Katie Wilkinson.
https://www.palomahealth.com/learn/the-impact-of-alcohol-use-on-thyroid-function
 
• « Peer Pressure and Alcohol », Matt Gonzales.
https://www.drugrehab.com/addiction/alcohol/peer-pressure/
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Quand on sait que l’alcool est l’une des substances psychoactives les plus consommées et constituant le 3ème facteur de risque de maladie et d’invalidité au monde, on peut affirmer que la pression sociale liée à la consommation d’alcool est un véritable fléau.
 
Bien que certaines études (dont celles sur lesquelles je me suis appuyée pour la rédaction de ce post) confèrent à l’alcool certains facteurs protecteurs, notamment contre le développement du goitre (élargissement anormal de la glande thyroïde) ou encore dans la prévention de l'hypothyroïdie auto-immune et d’autres pathologies, et remettent en doute la « nocivité dès le premier verre », on ne peut pas nier ses effets délétères sur l’ensemble du corps, comme on ne peut pas, à mon sens, continuer de tolérer la pression sociale liée à la consommation d’alcool.
 
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• « The Impact Of Alcohol Use On Thyroid Function », Katie Wilkinson.
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• « Peer Pressure and Alcohol », Matt Gonzales.
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Quand on sait que l’alcool est l’une des substances psychoactives les plus consommées et constituant le 3ème facteur de risque de maladie et d’invalidité au monde, on peut affirmer que la pression sociale liée à la consommation d’alcool est un véritable fléau.
 
Bien que certaines études (dont celles sur lesquelles je me suis appuyée pour la rédaction de ce post) confèrent à l’alcool certains facteurs protecteurs, notamment contre le développement du goitre (élargissement anormal de la glande thyroïde) ou encore dans la prévention de l'hypothyroïdie auto-immune et d’autres pathologies, et remettent en doute la « nocivité dès le premier verre », on ne peut pas nier ses effets délétères sur l’ensemble du corps, comme on ne peut pas, à mon sens, continuer de tolérer la pression sociale liée à la consommation d’alcool.
 
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https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3743356/#:~:text=The%20fact%20that%20alcohol%20causes,stimulation%20is%20open%20to%20speculation 
 
• « The Impact Of Alcohol Use On Thyroid Function », Katie Wilkinson.
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• « Peer Pressure and Alcohol », Matt Gonzales.
https://www.drugrehab.com/addiction/alcohol/peer-pressure/
Le problème, ce n’est pas de boire un verre d’alcool de temps en temps, mais d’insister pour que quelqu’un en fasse de même.
 
Quand on sait que l’alcool est l’une des substances psychoactives les plus consommées et constituant le 3ème facteur de risque de maladie et d’invalidité au monde, on peut affirmer que la pression sociale liée à la consommation d’alcool est un véritable fléau.
 
Bien que certaines études (dont celles sur lesquelles je me suis appuyée pour la rédaction de ce post) confèrent à l’alcool certains facteurs protecteurs, notamment contre le développement du goitre (élargissement anormal de la glande thyroïde) ou encore dans la prévention de l'hypothyroïdie auto-immune et d’autres pathologies, et remettent en doute la « nocivité dès le premier verre », on ne peut pas nier ses effets délétères sur l’ensemble du corps, comme on ne peut pas, à mon sens, continuer de tolérer la pression sociale liée à la consommation d’alcool.
 
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Le problème, ce n’est pas de boire un verre d’alcool de temps en temps, mais d’insister pour que quelqu’un en fasse de même. Quand on sait que l’alcool est l’une des substances psychoactives les plus consommées et constituant le 3ème facteur de risque de maladie et d’invalidité au monde, on peut affirmer que la pression sociale liée à la consommation d’alcool est un véritable fléau. Bien que certaines études (dont celles sur lesquelles je me suis appuyée pour la rédaction de ce post) confèrent à l’alcool certains facteurs protecteurs, notamment contre le développement du goitre (élargissement anormal de la glande thyroïde) ou encore dans la prévention de l'hypothyroïdie auto-immune et d’autres pathologies, et remettent en doute la « nocivité dès le premier verre », on ne peut pas nier ses effets délétères sur l’ensemble du corps, comme on ne peut pas, à mon sens, continuer de tolérer la pression sociale liée à la consommation d’alcool. Alors si tu te sens concerné(e) car trop souvent confronté(e) à cette pression, n’hésite pas à partager ce post autour de toi. P.S. : Pousser son pote à boire un verre alors qu’il n’en a pas envie, ce n’est vraiment pas lui vouloir du bien. 😉 Sources utilisées : • Podcast « #011 The Systemics Effects of Alcohol » avec @dr.stacy.nd. Disponible sur Spotify. • « Alcoholism and its effects on the central nervous system », Sukhes Mukheriee. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23713737/ • « Alcohol and Health Series: Alcohol and the Body », Alberta Health Services. https://www.albertahealthservices.ca/assets/info/amh/if-amh-alcohol-and-the-human-body.pdf • « Impact of alcohol use on thyroid function », Yatan Pal Singh Balhara et Koushik Sinha Deb. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3743356/#:~:text=The%20fact%20that%20alcohol%20causes,stimulation%20is%20open%20to%20speculation • « The Impact Of Alcohol Use On Thyroid Function », Katie Wilkinson. https://www.palomahealth.com/learn/the-impact-of-alcohol-use-on-thyroid-function • « Peer Pressure and Alcohol », Matt Gonzales. https://www.drugrehab.com/addiction/alcohol/peer-pressure/
3 mois ago
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2/5
Les raisons de stimuler son nerf vague quotidiennement sont nombreuses ! 👇
 
Tout d’abord, en activant le système nerveux parasympathique, la stimulation du nerf vague aide le corps à se détendre en le préparant au repos.
 
Mais ce n’est pas tout !
 
Un bon tonus vagal permet également de mieux gérer son stress et ainsi, d’éviter la systématique réponse de « combat ou fuite » du système nerveux sympathique face à ce dernier (réponse qui peut vite finir par épuiser notre organisme).
 
Cela s’explique par le fait qu’un nerf vague en bonne santé aide à :
 
- Ralentir le rythme cardiaque et la respiration
- Augmenter le péristaltisme intestinal (et donc à améliorer la digestion en facilitant le déplacement de la nourriture dans le système digestif)
- Réduire les niveaux de cortisol (hormone du stress) et l’inflammation
 
La stimulation de ce dernier est donc un geste santé indispensable à la résilience du corps !
 
Si tu te demandes si « telle ou telle chose » permet de stimuler ton nerf vague, demande-toi si elle peut-être reliée à l’une des cases suivantes :
 
◽️ Exposition au froid
◽️ Respiration lente et profonde
◽️ Faire vibrer les cordes vocales
◽️ Pleine conscience
◽️ Mouvement (eh oui, bouger, c’est vraiment la santé !)
 
Si c’est le cas, alors la réponse à ta question est positive !
 
Pratiques-tu déjà l’une des activités citées dans ce post ? 😌
 
 
 
#nerfvague #vagusnerve #naturopathie #systemenerveux #santenaturelle #microbiote #bienetre #mieuxetre #mieuxêtre #mieuxvivre #bienetreaunaturel #intestins #maladiechronique #inflammation #troublesdigestifs #digestion #respiration #gestiondustress #stresschronique #anxiété #dépression #déprime #fatiguechronique #mieuxdanssoncorps #mieuxdanssatete #hypertension #obésité #santementale #santephysique #santeaunaturel
le.corps.resilient
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Les raisons de stimuler son nerf vague quotidiennement sont nombreuses ! 👇 Tout d’abord, en activant le système nerveux parasympathique, la stimulation du nerf vague aide le corps à se détendre en le préparant au repos. Mais ce n’est pas tout ! Un bon tonus vagal permet également de mieux gérer son stress et ainsi, d’éviter la systématique réponse de « combat ou fuite » du système nerveux sympathique face à ce dernier (réponse qui peut vite finir par épuiser notre organisme). Cela s’explique par le fait qu’un nerf vague en bonne santé aide à : - Ralentir le rythme cardiaque et la respiration - Augmenter le péristaltisme intestinal (et donc à améliorer la digestion en facilitant le déplacement de la nourriture dans le système digestif) - Réduire les niveaux de cortisol (hormone du stress) et l’inflammation La stimulation de ce dernier est donc un geste santé indispensable à la résilience du corps ! Si tu te demandes si « telle ou telle chose » permet de stimuler ton nerf vague, demande-toi si elle peut-être reliée à l’une des cases suivantes : ◽️ Exposition au froid ◽️ Respiration lente et profonde ◽️ Faire vibrer les cordes vocales ◽️ Pleine conscience ◽️ Mouvement (eh oui, bouger, c’est vraiment la santé !) Si c’est le cas, alors la réponse à ta question est positive ! Pratiques-tu déjà l’une des activités citées dans ce post ? 😌 #nerfvague #vagusnerve #naturopathie #systemenerveux #santenaturelle #microbiote #bienetre #mieuxetre #mieuxêtre #mieuxvivre #bienetreaunaturel #intestins #maladiechronique #inflammation #troublesdigestifs #digestion #respiration #gestiondustress #stresschronique #anxiété #dépression #déprime #fatiguechronique #mieuxdanssoncorps #mieuxdanssatete #hypertension #obésité #santementale #santephysique #santeaunaturel
4 mois ago
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3/5
Ah, comme j’avais hâte de te parler du nerf vague !
 
Son nom vient du latin « vagus » qui signifie errer. Un nom bien choisi pour celui qui vagabonde partout à travers le corps : du cerveau à l’abdomen, en passant par le cou et la poitrine !
 
Bien qu’on parle de lui au singulier, le nerf vague se compose en réalité de deux nerfs : l’un situé à gauche, l’autre à droite.
 
Pour le reste, tout est dans le petit carrousel là-haut. 👆
 
Avais-tu déjà entendu parler du nerf vague ? Et si oui, sais-tu comment l’activer naturellement au quotidien ? (Si non, tu le sauras dès demain. 👀)
 
 
 
 
 
#nerfvague #vagusnerve #naturopathie #systemenerveux #santenaturelle #microbiote #bienetre #mieuxetre #mieuxêtre #mieuxvivre #bienetreaunaturel #intestins #maladiechronique #inflammation #troublesdigestifs #digestion #respiration #gestiondustress #stresschronique #anxiété #dépression #déprime #fatiguechronique #mieuxdanssoncorps #mieuxdanssatete #hypertension #obésité #santementale #santephysique #santeaunaturel
Ah, comme j’avais hâte de te parler du nerf vague !
 
Son nom vient du latin « vagus » qui signifie errer. Un nom bien choisi pour celui qui vagabonde partout à travers le corps : du cerveau à l’abdomen, en passant par le cou et la poitrine !
 
Bien qu’on parle de lui au singulier, le nerf vague se compose en réalité de deux nerfs : l’un situé à gauche, l’autre à droite.
 
Pour le reste, tout est dans le petit carrousel là-haut. 👆
 
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Son nom vient du latin « vagus » qui signifie errer. Un nom bien choisi pour celui qui vagabonde partout à travers le corps : du cerveau à l’abdomen, en passant par le cou et la poitrine !
 
Bien qu’on parle de lui au singulier, le nerf vague se compose en réalité de deux nerfs : l’un situé à gauche, l’autre à droite.
 
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Avais-tu déjà entendu parler du nerf vague ? Et si oui, sais-tu comment l’activer naturellement au quotidien ? (Si non, tu le sauras dès demain. 👀)
 
 
 
 
 
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Bien qu’on parle de lui au singulier, le nerf vague se compose en réalité de deux nerfs : l’un situé à gauche, l’autre à droite.
 
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Bien qu’on parle de lui au singulier, le nerf vague se compose en réalité de deux nerfs : l’un situé à gauche, l’autre à droite.
 
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Ah, comme j’avais hâte de te parler du nerf vague ! Son nom vient du latin « vagus » qui signifie errer. Un nom bien choisi pour celui qui vagabonde partout à travers le corps : du cerveau à l’abdomen, en passant par le cou et la poitrine ! Bien qu’on parle de lui au singulier, le nerf vague se compose en réalité de deux nerfs : l’un situé à gauche, l’autre à droite. Pour le reste, tout est dans le petit carrousel là-haut. 👆 Avais-tu déjà entendu parler du nerf vague ? Et si oui, sais-tu comment l’activer naturellement au quotidien ? (Si non, tu le sauras dès demain. 👀) #nerfvague #vagusnerve #naturopathie #systemenerveux #santenaturelle #microbiote #bienetre #mieuxetre #mieuxêtre #mieuxvivre #bienetreaunaturel #intestins #maladiechronique #inflammation #troublesdigestifs #digestion #respiration #gestiondustress #stresschronique #anxiété #dépression #déprime #fatiguechronique #mieuxdanssoncorps #mieuxdanssatete #hypertension #obésité #santementale #santephysique #santeaunaturel
4 mois ago
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4/5
Cela fait un moment que tu te renseignes sur le syndrome de l’intestin irritable (SII) et tu te reconnais dans la majorité des symptômes ?
 
Il n’y a qu’une seule et unique marche à suivre pour savoir si tu as ce syndrome ou non, et la voici :
 
Consulter ton généraliste dans le but de pouvoir…
↓
Consulter un gastro-entérologue qui va réaliser un diagnostic d’exclusion (Crohn, etc).
↓
Si les résultats du diagnostic d’exclusion sont négatifs : recours aux critères de diagnostic de Rome IV.
↓
Si les résultats à ces derniers sont positifs : tu es atteint(e) du SII.
 
Et si c’est le cas : no panic. ❌
 
Si tu me suis en story, tu as sûrement vu que je travaillais actuellement sur un accompagnement pour aider les personnes atteintes du SII à mieux vivre avec ce dernier.
 
La création de ce programme nécessite du temps (ce qui explique en partie mon absence par ici) et de la rigueur ; il ne sortira donc pas de sitôt mais si tu ne souhaites pas passer à côté, n’hésite pas à me faire signe et je reviendrai vers toi une fois celui-ci disponible. 👋
le.corps.resilient
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Cela fait un moment que tu te renseignes sur le syndrome de l’intestin irritable (SII) et tu te reconnais dans la majorité des symptômes ?   Il n’y a qu’une seule et unique marche à suivre pour savoir si tu as ce syndrome ou non, et la voici :   Consulter ton généraliste dans le but de pouvoir… ↓ Consulter un gastro-entérologue qui va réaliser un diagnostic d’exclusion (Crohn, etc). ↓ Si les résultats du diagnostic d’exclusion sont négatifs : recours aux critères de diagnostic de Rome IV. ↓ Si les résultats à ces derniers sont positifs : tu es atteint(e) du SII.   Et si c’est le cas : no panic. ❌   Si tu me suis en story, tu as sûrement vu que je travaillais actuellement sur un accompagnement pour aider les personnes atteintes du SII à mieux vivre avec ce dernier.   La création de ce programme nécessite du temps (ce qui explique en partie mon absence par ici) et de la rigueur ; il ne sortira donc pas de sitôt mais si tu ne souhaites pas passer à côté, n’hésite pas à me faire signe et je reviendrai vers toi une fois celui-ci disponible. 👋
5 mois ago
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5/5
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