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Le Corps Résilient

Pourquoi consulter un naturopathe

Pourquoi consulter un naturopathe ?

vague jaune
Préserver son énergie vitale

01

Pour préserver ton énergie vitale

La naturopathie joue avant tout un rôle de prévention. Le naturopathe n’est pas un soignant mais un éducateur de santé ; je t’aide donc à préserver ton capital santé et ton énergie vitale avec un programme entièrement personnalisé comportant des conseils mais aussi des explications pour mieux comprendre le fonctionnement de ton corps.

Retrouver son énergie vitale

02

Pour retrouver ton énergie vitale

Tu rencontres un ou plusieurs troubles de santé (troubles digestifs, stress, troubles du sommeil, fatigue chronique, douleurs articulaires, troubles menstruels et/ou déséquilibres hormonaux, MICI, maladie auto-immune, prise et/ou perte de poids…) qui rendent ton quotidien difficile et, en parallèle d’un suivi médical, tu souhaites être accompagné(e) par un professionnel du bien-être afin de les comprendre mais aussi de les soulager ? Je suis également formée pour cela.

0
raisons de consulter un naturopathe :
  • Prévenir la maladie ou accompagner un trouble de santé déjà installé
  • Améliorer son hygiène de vie
  • S'éduquer ou éduquer son enfant à la santé
  • Gagner en énergie et en bien-être
  • Équilibrer son alimentation
  • Améliorer sa digestion
  • Retrouver un sommeil de qualité
  • Mieux gérer son stress et ses émotions
  • Se préparer à la conception (hommes et femmes)
  • Accompagner la grossesse et le post-partum
  • Se préparer à un examen
  • Mieux vivre sa ménopause
  • Optimiser ses performances sportives
  • Mieux vivre son cycle menstruel
  • Passer à une méthode de contraception naturelle

comment se déroule une

Première consultation de naturopathie

  • Toutes les consultations que je propose se font en ligne via Google Meet (Skype et Zoom sur demande). Ainsi, je peux vous accompagner peu importe où vous vivez : en France ou ailleurs !
  • Step 1 : Le bilan de vitalité. Pour établir ce dernier, je te pose diverses questions portant sur l'ensemble des sphères constituant ton organisme (digestive, respiratoire, psycho-émotionnelle...) afin de créer des liens et de savoir comment t'aider à préserver et/ou retrouver ta force vitale tout en tenant compte des possibles interactions et contre-indications.
  • Step 2 : Le Programme d'Hygiène Vitale, dit PHV. Ce dernier, entièrement personnalisé, est rédigé à la suite de notre rendez-vous et s'appuie sur 3 principaux piliers : l'alimentation, l'activité physique et la gestion du stress et des émotions. Il comporte différents conseils et explications adaptés à ta situation afin de t'aider à (re)prendre le pouvoir sur ta santé et ton énergie. Je te le fais parvenir par mail sous 24 à 72h.
  • Step 3 : À toi de jouer ! J'estime qu'il faut en moyenne 3 à 6 mois pour mettre en place de nouvelles habitudes et en apprécier les bienfaits. Pendant ce temps, je reste joignable 5j/7, du lundi au vendredi, par mail et via WhatsApp.
vague jaune

comment se déroule une

Consultation de suivi

  • Step 1 : On fait le point. Pour cela, nous revenons notamment sur la raison de ta venue lors de ta première consultation, l'application (totale ou partielle) du PHV, tes ressentis, les bienfaits constatés mais aussi les éventuelles difficultés rencontrées.
  • Step 2 : Le Programme d'Hygiène Vitale, Partie 2. Sous 24 à 72h, tu reçois la suite de ton PHV par mail. Celle-ci tient compte de l'ensemble des points évoqués dans l'étape précédente. Par la suite, je reste toujours joignable 5j/7 par mail et via WhatsApp.
  • Et après ? Si tu en ressens le besoin, il est possible de réaliser plusieurs consultations de suivi. Cependant, il est important de savoir que la naturopathie nécessite de la patience. Comme précisé plus haut, j'estime qu'en plus d'un investissement personnel indispensable, il faut plusieurs semaines et/ou mois pour apprécier les différents bienfaits permis par l'application des conseils prodigués.

Première consultation

Durée moyenne : 1h30

0
euros TTC

Consultation de suivi

Durée moyenne : 45mn

0
euros TTC

Bon à savoir :

De nombreuses complémentaires santé proposent désormais la prise en charge totale ou partielle des consultations de naturopathie. N’hésite pas à te rapprocher de la tienne afin de savoir si tu peux bénéficier de ce service.

Aussi, il est peut-être important pour toi de savoir que, lors de la réalisation du Programme d’Hygiène Vitale, je m’adapte au budget de chacun(e) de mes consultant(e)s afin que les conseils prodigués soient facilement applicables.

Prendre rendez-vous pour une première consultation :

Prendre rendez-vous pour une consultation de suivi :

  • Dans les deux cas, tu recevras un premier mail comportant le détail de ta commande puis un deuxième contenant les modalités de paiement — qui doit être effectué via PayPal avant le jour de ta consultation — ainsi qu'un lien Google Meet pour rejoindre la visioconférence.

RETOURS CONSULTATIONS

J'ai eu l'occasion d'avoir un suivi de Naturopathie avec Éva et je n'ai pas été déçue ! Elle est à l'écoute de nos besoins et s'adapte à nos contraintes. Tout est toujours dans la bienveillance et sans aucun jugement. Éva m'a donné de la documentation utile que je peux relire à souhait, tout comme le programme personnalisé qu'elle m'a fait. Ce suivi m'a permis également d'améliorer mon alimentation et d'intégrer des aliments spécifiques pour mes besoins et j'ai vu une différence !
retours consultations
Noémie
Première expérience en naturopathie qui s'est parfaitement bien déroulée. Eva est une personne dévouée à l'écoute attentive. J'ai été agréablement surpris des résultats qui sont ressortis suite à la mise en place de nouvelles habitudes basées sur ses précieux conseils. Je ne peux que vous la recommander !
retours consultations
Randy
J'ai trouvé cette première expérience en naturopathie très intéressante ; Éva est très à l'écoute et a su m'apporter les clés pour améliorer ma santé mentale et physique. Je la recommande vivement !
retours consultations
Brigitte
Très professionnelle et à l'écoute du besoin ! Le suivi et les conseils sont très bons, je recommande grandement !
retours consultations
Cédric
Un grand merci à Eva qui a su être à l'écoute et disponible. Son approche a permis de trouver les meilleures alternatives afin de répondre à mes besoins. Un suivi sur 3 mois qui a porté ses fruits et dont je bénéficie des bienfaits à long terme. Je recommande son accompagnement tout en douceur et bienveillance. Merci encore et bonne continuation.
retours consultations
Sophie
Eva m'a suivie pour une situation de santé complexe. J'ai beaucoup apprécié son écoute, sa disponibilité et sa capacité à rechercher les solutions les meilleures pour mon cas. Je ne peux que recommander Eva pour sa gentillesse et ses compétences professionnelles.
retours consultations
Anne
Je remercie Eva pour son accompagnement qui fût très bénéfique Grâce à son suivi, ses compétences mais aussi à son sens de l’écoute et sa sympathie, elle m’a permis de tenir mes objectifs pour me sentir mieux en revalorisant mon alimentation Son accompagnement ne pourra vous être que bénéfique !
retours consultations
Christopher
Le suivi proposé a été une très bonne expérience, Eva est à l'écoute et passionnée. Je recommande les yeux fermés !
retours consultations
Delphine

Celui qui a la santé est riche sans le savoir.

PROVERBE ITALIEN

C’est lundi et tu penses déjà à la raclette du week-end prochain ? 👀
 
Ça tombe bien, je te partage 5 conseils qui t’aideront à mieux la préparer et ainsi… à mieux la digérer !
 
 
 
 
 
#naturopathie #raclette #racletteparty #naturo #conseilsanté #digestion #ballonnements #intestin #santenaturelle #santénaturelle #alimentation #alimentationequilibree #alimentationsante #mieuxmanger #bienetre #bienêtre #bienetreaunaturel #mieuxetre #mangermieux #mieuxêtre #nutrition #probiotiques #prebiotiques #alimentationéquilibrée #fromage #microbiote #troublesdigestifs #mieuxdanssoncorps #santeaunaturel #santéaunaturel
le.corps.resilient
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C’est lundi et tu penses déjà à la raclette du week-end prochain ? 👀 Ça tombe bien, je te partage 5 conseils qui t’aideront à mieux la préparer et ainsi… à mieux la digérer ! #naturopathie #raclette #racletteparty #naturo #conseilsanté #digestion #ballonnements #intestin #santenaturelle #santénaturelle #alimentation #alimentationequilibree #alimentationsante #mieuxmanger #bienetre #bienêtre #bienetreaunaturel #mieuxetre #mangermieux #mieuxêtre #nutrition #probiotiques #prebiotiques #alimentationéquilibrée #fromage #microbiote #troublesdigestifs #mieuxdanssoncorps #santeaunaturel #santéaunaturel
4 mois ago
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1/5
Le problème, ce n’est pas de boire un verre d’alcool de temps en temps, mais d’insister pour que quelqu’un en fasse de même.
 
Quand on sait que l’alcool est l’une des substances psychoactives les plus consommées et constituant le 3ème facteur de risque de maladie et d’invalidité au monde, on peut affirmer que la pression sociale liée à la consommation d’alcool est un véritable fléau.
 
Bien que certaines études (dont celles sur lesquelles je me suis appuyée pour la rédaction de ce post) confèrent à l’alcool certains facteurs protecteurs, notamment contre le développement du goitre (élargissement anormal de la glande thyroïde) ou encore dans la prévention de l'hypothyroïdie auto-immune et d’autres pathologies, et remettent en doute la « nocivité dès le premier verre », on ne peut pas nier ses effets délétères sur l’ensemble du corps, comme on ne peut pas, à mon sens, continuer de tolérer la pression sociale liée à la consommation d’alcool.
 
Alors si tu te sens concerné(e) car trop souvent confronté(e) à cette pression, n’hésite pas à partager ce post autour de toi.
 
P.S. : Pousser son pote à boire un verre alors qu’il n’en a pas envie, ce n’est vraiment pas lui vouloir du bien. 😉
 
Sources utilisées :
 
• Podcast « #011 The Systemics Effects of Alcohol » avec @dr.stacy.nd. Disponible sur Spotify.
 
• « Alcoholism and its effects on the central nervous system », Sukhes Mukheriee.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23713737/
 
• « Alcohol and Health Series: Alcohol and the Body », Alberta Health Services.
https://www.albertahealthservices.ca/assets/info/amh/if-amh-alcohol-and-the-human-body.pdf 
 
• « Impact of alcohol use on thyroid function », Yatan Pal Singh Balhara et Koushik Sinha Deb.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3743356/#:~:text=The%20fact%20that%20alcohol%20causes,stimulation%20is%20open%20to%20speculation 
 
• « The Impact Of Alcohol Use On Thyroid Function », Katie Wilkinson.
https://www.palomahealth.com/learn/the-impact-of-alcohol-use-on-thyroid-function
 
• « Peer Pressure and Alcohol », Matt Gonzales.
https://www.drugrehab.com/addiction/alcohol/peer-pressure/
Le problème, ce n’est pas de boire un verre d’alcool de temps en temps, mais d’insister pour que quelqu’un en fasse de même.
 
Quand on sait que l’alcool est l’une des substances psychoactives les plus consommées et constituant le 3ème facteur de risque de maladie et d’invalidité au monde, on peut affirmer que la pression sociale liée à la consommation d’alcool est un véritable fléau.
 
Bien que certaines études (dont celles sur lesquelles je me suis appuyée pour la rédaction de ce post) confèrent à l’alcool certains facteurs protecteurs, notamment contre le développement du goitre (élargissement anormal de la glande thyroïde) ou encore dans la prévention de l'hypothyroïdie auto-immune et d’autres pathologies, et remettent en doute la « nocivité dès le premier verre », on ne peut pas nier ses effets délétères sur l’ensemble du corps, comme on ne peut pas, à mon sens, continuer de tolérer la pression sociale liée à la consommation d’alcool.
 
Alors si tu te sens concerné(e) car trop souvent confronté(e) à cette pression, n’hésite pas à partager ce post autour de toi.
 
P.S. : Pousser son pote à boire un verre alors qu’il n’en a pas envie, ce n’est vraiment pas lui vouloir du bien. 😉
 
Sources utilisées :
 
• Podcast « #011 The Systemics Effects of Alcohol » avec @dr.stacy.nd. Disponible sur Spotify.
 
• « Alcoholism and its effects on the central nervous system », Sukhes Mukheriee.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23713737/
 
• « Alcohol and Health Series: Alcohol and the Body », Alberta Health Services.
https://www.albertahealthservices.ca/assets/info/amh/if-amh-alcohol-and-the-human-body.pdf 
 
• « Impact of alcohol use on thyroid function », Yatan Pal Singh Balhara et Koushik Sinha Deb.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3743356/#:~:text=The%20fact%20that%20alcohol%20causes,stimulation%20is%20open%20to%20speculation 
 
• « The Impact Of Alcohol Use On Thyroid Function », Katie Wilkinson.
https://www.palomahealth.com/learn/the-impact-of-alcohol-use-on-thyroid-function
 
• « Peer Pressure and Alcohol », Matt Gonzales.
https://www.drugrehab.com/addiction/alcohol/peer-pressure/
Le problème, ce n’est pas de boire un verre d’alcool de temps en temps, mais d’insister pour que quelqu’un en fasse de même.
 
Quand on sait que l’alcool est l’une des substances psychoactives les plus consommées et constituant le 3ème facteur de risque de maladie et d’invalidité au monde, on peut affirmer que la pression sociale liée à la consommation d’alcool est un véritable fléau.
 
Bien que certaines études (dont celles sur lesquelles je me suis appuyée pour la rédaction de ce post) confèrent à l’alcool certains facteurs protecteurs, notamment contre le développement du goitre (élargissement anormal de la glande thyroïde) ou encore dans la prévention de l'hypothyroïdie auto-immune et d’autres pathologies, et remettent en doute la « nocivité dès le premier verre », on ne peut pas nier ses effets délétères sur l’ensemble du corps, comme on ne peut pas, à mon sens, continuer de tolérer la pression sociale liée à la consommation d’alcool.
 
Alors si tu te sens concerné(e) car trop souvent confronté(e) à cette pression, n’hésite pas à partager ce post autour de toi.
 
P.S. : Pousser son pote à boire un verre alors qu’il n’en a pas envie, ce n’est vraiment pas lui vouloir du bien. 😉
 
Sources utilisées :
 
• Podcast « #011 The Systemics Effects of Alcohol » avec @dr.stacy.nd. Disponible sur Spotify.
 
• « Alcoholism and its effects on the central nervous system », Sukhes Mukheriee.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23713737/
 
• « Alcohol and Health Series: Alcohol and the Body », Alberta Health Services.
https://www.albertahealthservices.ca/assets/info/amh/if-amh-alcohol-and-the-human-body.pdf 
 
• « Impact of alcohol use on thyroid function », Yatan Pal Singh Balhara et Koushik Sinha Deb.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3743356/#:~:text=The%20fact%20that%20alcohol%20causes,stimulation%20is%20open%20to%20speculation 
 
• « The Impact Of Alcohol Use On Thyroid Function », Katie Wilkinson.
https://www.palomahealth.com/learn/the-impact-of-alcohol-use-on-thyroid-function
 
• « Peer Pressure and Alcohol », Matt Gonzales.
https://www.drugrehab.com/addiction/alcohol/peer-pressure/
Le problème, ce n’est pas de boire un verre d’alcool de temps en temps, mais d’insister pour que quelqu’un en fasse de même.
 
Quand on sait que l’alcool est l’une des substances psychoactives les plus consommées et constituant le 3ème facteur de risque de maladie et d’invalidité au monde, on peut affirmer que la pression sociale liée à la consommation d’alcool est un véritable fléau.
 
Bien que certaines études (dont celles sur lesquelles je me suis appuyée pour la rédaction de ce post) confèrent à l’alcool certains facteurs protecteurs, notamment contre le développement du goitre (élargissement anormal de la glande thyroïde) ou encore dans la prévention de l'hypothyroïdie auto-immune et d’autres pathologies, et remettent en doute la « nocivité dès le premier verre », on ne peut pas nier ses effets délétères sur l’ensemble du corps, comme on ne peut pas, à mon sens, continuer de tolérer la pression sociale liée à la consommation d’alcool.
 
Alors si tu te sens concerné(e) car trop souvent confronté(e) à cette pression, n’hésite pas à partager ce post autour de toi.
 
P.S. : Pousser son pote à boire un verre alors qu’il n’en a pas envie, ce n’est vraiment pas lui vouloir du bien. 😉
 
Sources utilisées :
 
• Podcast « #011 The Systemics Effects of Alcohol » avec @dr.stacy.nd. Disponible sur Spotify.
 
• « Alcoholism and its effects on the central nervous system », Sukhes Mukheriee.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23713737/
 
• « Alcohol and Health Series: Alcohol and the Body », Alberta Health Services.
https://www.albertahealthservices.ca/assets/info/amh/if-amh-alcohol-and-the-human-body.pdf 
 
• « Impact of alcohol use on thyroid function », Yatan Pal Singh Balhara et Koushik Sinha Deb.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3743356/#:~:text=The%20fact%20that%20alcohol%20causes,stimulation%20is%20open%20to%20speculation 
 
• « The Impact Of Alcohol Use On Thyroid Function », Katie Wilkinson.
https://www.palomahealth.com/learn/the-impact-of-alcohol-use-on-thyroid-function
 
• « Peer Pressure and Alcohol », Matt Gonzales.
https://www.drugrehab.com/addiction/alcohol/peer-pressure/
Le problème, ce n’est pas de boire un verre d’alcool de temps en temps, mais d’insister pour que quelqu’un en fasse de même.
 
Quand on sait que l’alcool est l’une des substances psychoactives les plus consommées et constituant le 3ème facteur de risque de maladie et d’invalidité au monde, on peut affirmer que la pression sociale liée à la consommation d’alcool est un véritable fléau.
 
Bien que certaines études (dont celles sur lesquelles je me suis appuyée pour la rédaction de ce post) confèrent à l’alcool certains facteurs protecteurs, notamment contre le développement du goitre (élargissement anormal de la glande thyroïde) ou encore dans la prévention de l'hypothyroïdie auto-immune et d’autres pathologies, et remettent en doute la « nocivité dès le premier verre », on ne peut pas nier ses effets délétères sur l’ensemble du corps, comme on ne peut pas, à mon sens, continuer de tolérer la pression sociale liée à la consommation d’alcool.
 
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P.S. : Pousser son pote à boire un verre alors qu’il n’en a pas envie, ce n’est vraiment pas lui vouloir du bien. 😉
 
Sources utilisées :
 
• Podcast « #011 The Systemics Effects of Alcohol » avec @dr.stacy.nd. Disponible sur Spotify.
 
• « Alcoholism and its effects on the central nervous system », Sukhes Mukheriee.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23713737/
 
• « Alcohol and Health Series: Alcohol and the Body », Alberta Health Services.
https://www.albertahealthservices.ca/assets/info/amh/if-amh-alcohol-and-the-human-body.pdf 
 
• « Impact of alcohol use on thyroid function », Yatan Pal Singh Balhara et Koushik Sinha Deb.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3743356/#:~:text=The%20fact%20that%20alcohol%20causes,stimulation%20is%20open%20to%20speculation 
 
• « The Impact Of Alcohol Use On Thyroid Function », Katie Wilkinson.
https://www.palomahealth.com/learn/the-impact-of-alcohol-use-on-thyroid-function
 
• « Peer Pressure and Alcohol », Matt Gonzales.
https://www.drugrehab.com/addiction/alcohol/peer-pressure/
Le problème, ce n’est pas de boire un verre d’alcool de temps en temps, mais d’insister pour que quelqu’un en fasse de même.
 
Quand on sait que l’alcool est l’une des substances psychoactives les plus consommées et constituant le 3ème facteur de risque de maladie et d’invalidité au monde, on peut affirmer que la pression sociale liée à la consommation d’alcool est un véritable fléau.
 
Bien que certaines études (dont celles sur lesquelles je me suis appuyée pour la rédaction de ce post) confèrent à l’alcool certains facteurs protecteurs, notamment contre le développement du goitre (élargissement anormal de la glande thyroïde) ou encore dans la prévention de l'hypothyroïdie auto-immune et d’autres pathologies, et remettent en doute la « nocivité dès le premier verre », on ne peut pas nier ses effets délétères sur l’ensemble du corps, comme on ne peut pas, à mon sens, continuer de tolérer la pression sociale liée à la consommation d’alcool.
 
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P.S. : Pousser son pote à boire un verre alors qu’il n’en a pas envie, ce n’est vraiment pas lui vouloir du bien. 😉
 
Sources utilisées :
 
• Podcast « #011 The Systemics Effects of Alcohol » avec @dr.stacy.nd. Disponible sur Spotify.
 
• « Alcoholism and its effects on the central nervous system », Sukhes Mukheriee.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23713737/
 
• « Alcohol and Health Series: Alcohol and the Body », Alberta Health Services.
https://www.albertahealthservices.ca/assets/info/amh/if-amh-alcohol-and-the-human-body.pdf 
 
• « Impact of alcohol use on thyroid function », Yatan Pal Singh Balhara et Koushik Sinha Deb.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3743356/#:~:text=The%20fact%20that%20alcohol%20causes,stimulation%20is%20open%20to%20speculation 
 
• « The Impact Of Alcohol Use On Thyroid Function », Katie Wilkinson.
https://www.palomahealth.com/learn/the-impact-of-alcohol-use-on-thyroid-function
 
• « Peer Pressure and Alcohol », Matt Gonzales.
https://www.drugrehab.com/addiction/alcohol/peer-pressure/
Le problème, ce n’est pas de boire un verre d’alcool de temps en temps, mais d’insister pour que quelqu’un en fasse de même.
 
Quand on sait que l’alcool est l’une des substances psychoactives les plus consommées et constituant le 3ème facteur de risque de maladie et d’invalidité au monde, on peut affirmer que la pression sociale liée à la consommation d’alcool est un véritable fléau.
 
Bien que certaines études (dont celles sur lesquelles je me suis appuyée pour la rédaction de ce post) confèrent à l’alcool certains facteurs protecteurs, notamment contre le développement du goitre (élargissement anormal de la glande thyroïde) ou encore dans la prévention de l'hypothyroïdie auto-immune et d’autres pathologies, et remettent en doute la « nocivité dès le premier verre », on ne peut pas nier ses effets délétères sur l’ensemble du corps, comme on ne peut pas, à mon sens, continuer de tolérer la pression sociale liée à la consommation d’alcool.
 
Alors si tu te sens concerné(e) car trop souvent confronté(e) à cette pression, n’hésite pas à partager ce post autour de toi.
 
P.S. : Pousser son pote à boire un verre alors qu’il n’en a pas envie, ce n’est vraiment pas lui vouloir du bien. 😉
 
Sources utilisées :
 
• Podcast « #011 The Systemics Effects of Alcohol » avec @dr.stacy.nd. Disponible sur Spotify.
 
• « Alcoholism and its effects on the central nervous system », Sukhes Mukheriee.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23713737/
 
• « Alcohol and Health Series: Alcohol and the Body », Alberta Health Services.
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• « Impact of alcohol use on thyroid function », Yatan Pal Singh Balhara et Koushik Sinha Deb.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3743356/#:~:text=The%20fact%20that%20alcohol%20causes,stimulation%20is%20open%20to%20speculation 
 
• « The Impact Of Alcohol Use On Thyroid Function », Katie Wilkinson.
https://www.palomahealth.com/learn/the-impact-of-alcohol-use-on-thyroid-function
 
• « Peer Pressure and Alcohol », Matt Gonzales.
https://www.drugrehab.com/addiction/alcohol/peer-pressure/
Le problème, ce n’est pas de boire un verre d’alcool de temps en temps, mais d’insister pour que quelqu’un en fasse de même.
 
Quand on sait que l’alcool est l’une des substances psychoactives les plus consommées et constituant le 3ème facteur de risque de maladie et d’invalidité au monde, on peut affirmer que la pression sociale liée à la consommation d’alcool est un véritable fléau.
 
Bien que certaines études (dont celles sur lesquelles je me suis appuyée pour la rédaction de ce post) confèrent à l’alcool certains facteurs protecteurs, notamment contre le développement du goitre (élargissement anormal de la glande thyroïde) ou encore dans la prévention de l'hypothyroïdie auto-immune et d’autres pathologies, et remettent en doute la « nocivité dès le premier verre », on ne peut pas nier ses effets délétères sur l’ensemble du corps, comme on ne peut pas, à mon sens, continuer de tolérer la pression sociale liée à la consommation d’alcool.
 
Alors si tu te sens concerné(e) car trop souvent confronté(e) à cette pression, n’hésite pas à partager ce post autour de toi.
 
P.S. : Pousser son pote à boire un verre alors qu’il n’en a pas envie, ce n’est vraiment pas lui vouloir du bien. 😉
 
Sources utilisées :
 
• Podcast « #011 The Systemics Effects of Alcohol » avec @dr.stacy.nd. Disponible sur Spotify.
 
• « Alcoholism and its effects on the central nervous system », Sukhes Mukheriee.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23713737/
 
• « Alcohol and Health Series: Alcohol and the Body », Alberta Health Services.
https://www.albertahealthservices.ca/assets/info/amh/if-amh-alcohol-and-the-human-body.pdf 
 
• « Impact of alcohol use on thyroid function », Yatan Pal Singh Balhara et Koushik Sinha Deb.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3743356/#:~:text=The%20fact%20that%20alcohol%20causes,stimulation%20is%20open%20to%20speculation 
 
• « The Impact Of Alcohol Use On Thyroid Function », Katie Wilkinson.
https://www.palomahealth.com/learn/the-impact-of-alcohol-use-on-thyroid-function
 
• « Peer Pressure and Alcohol », Matt Gonzales.
https://www.drugrehab.com/addiction/alcohol/peer-pressure/
Le problème, ce n’est pas de boire un verre d’alcool de temps en temps, mais d’insister pour que quelqu’un en fasse de même.
 
Quand on sait que l’alcool est l’une des substances psychoactives les plus consommées et constituant le 3ème facteur de risque de maladie et d’invalidité au monde, on peut affirmer que la pression sociale liée à la consommation d’alcool est un véritable fléau.
 
Bien que certaines études (dont celles sur lesquelles je me suis appuyée pour la rédaction de ce post) confèrent à l’alcool certains facteurs protecteurs, notamment contre le développement du goitre (élargissement anormal de la glande thyroïde) ou encore dans la prévention de l'hypothyroïdie auto-immune et d’autres pathologies, et remettent en doute la « nocivité dès le premier verre », on ne peut pas nier ses effets délétères sur l’ensemble du corps, comme on ne peut pas, à mon sens, continuer de tolérer la pression sociale liée à la consommation d’alcool.
 
Alors si tu te sens concerné(e) car trop souvent confronté(e) à cette pression, n’hésite pas à partager ce post autour de toi.
 
P.S. : Pousser son pote à boire un verre alors qu’il n’en a pas envie, ce n’est vraiment pas lui vouloir du bien. 😉
 
Sources utilisées :
 
• Podcast « #011 The Systemics Effects of Alcohol » avec @dr.stacy.nd. Disponible sur Spotify.
 
• « Alcoholism and its effects on the central nervous system », Sukhes Mukheriee.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23713737/
 
• « Alcohol and Health Series: Alcohol and the Body », Alberta Health Services.
https://www.albertahealthservices.ca/assets/info/amh/if-amh-alcohol-and-the-human-body.pdf 
 
• « Impact of alcohol use on thyroid function », Yatan Pal Singh Balhara et Koushik Sinha Deb.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3743356/#:~:text=The%20fact%20that%20alcohol%20causes,stimulation%20is%20open%20to%20speculation 
 
• « The Impact Of Alcohol Use On Thyroid Function », Katie Wilkinson.
https://www.palomahealth.com/learn/the-impact-of-alcohol-use-on-thyroid-function
 
• « Peer Pressure and Alcohol », Matt Gonzales.
https://www.drugrehab.com/addiction/alcohol/peer-pressure/
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Le problème, ce n’est pas de boire un verre d’alcool de temps en temps, mais d’insister pour que quelqu’un en fasse de même. Quand on sait que l’alcool est l’une des substances psychoactives les plus consommées et constituant le 3ème facteur de risque de maladie et d’invalidité au monde, on peut affirmer que la pression sociale liée à la consommation d’alcool est un véritable fléau. Bien que certaines études (dont celles sur lesquelles je me suis appuyée pour la rédaction de ce post) confèrent à l’alcool certains facteurs protecteurs, notamment contre le développement du goitre (élargissement anormal de la glande thyroïde) ou encore dans la prévention de l'hypothyroïdie auto-immune et d’autres pathologies, et remettent en doute la « nocivité dès le premier verre », on ne peut pas nier ses effets délétères sur l’ensemble du corps, comme on ne peut pas, à mon sens, continuer de tolérer la pression sociale liée à la consommation d’alcool. Alors si tu te sens concerné(e) car trop souvent confronté(e) à cette pression, n’hésite pas à partager ce post autour de toi. P.S. : Pousser son pote à boire un verre alors qu’il n’en a pas envie, ce n’est vraiment pas lui vouloir du bien. 😉 Sources utilisées : • Podcast « #011 The Systemics Effects of Alcohol » avec @dr.stacy.nd. Disponible sur Spotify. • « Alcoholism and its effects on the central nervous system », Sukhes Mukheriee. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23713737/ • « Alcohol and Health Series: Alcohol and the Body », Alberta Health Services. https://www.albertahealthservices.ca/assets/info/amh/if-amh-alcohol-and-the-human-body.pdf • « Impact of alcohol use on thyroid function », Yatan Pal Singh Balhara et Koushik Sinha Deb. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3743356/#:~:text=The%20fact%20that%20alcohol%20causes,stimulation%20is%20open%20to%20speculation • « The Impact Of Alcohol Use On Thyroid Function », Katie Wilkinson. https://www.palomahealth.com/learn/the-impact-of-alcohol-use-on-thyroid-function • « Peer Pressure and Alcohol », Matt Gonzales. https://www.drugrehab.com/addiction/alcohol/peer-pressure/
5 mois ago
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2/5
Les raisons de stimuler son nerf vague quotidiennement sont nombreuses ! 👇
 
Tout d’abord, en activant le système nerveux parasympathique, la stimulation du nerf vague aide le corps à se détendre en le préparant au repos.
 
Mais ce n’est pas tout !
 
Un bon tonus vagal permet également de mieux gérer son stress et ainsi, d’éviter la systématique réponse de « combat ou fuite » du système nerveux sympathique face à ce dernier (réponse qui peut vite finir par épuiser notre organisme).
 
Cela s’explique par le fait qu’un nerf vague en bonne santé aide à :
 
- Ralentir le rythme cardiaque et la respiration
- Augmenter le péristaltisme intestinal (et donc à améliorer la digestion en facilitant le déplacement de la nourriture dans le système digestif)
- Réduire les niveaux de cortisol (hormone du stress) et l’inflammation
 
La stimulation de ce dernier est donc un geste santé indispensable à la résilience du corps !
 
Si tu te demandes si « telle ou telle chose » permet de stimuler ton nerf vague, demande-toi si elle peut-être reliée à l’une des cases suivantes :
 
◽️ Exposition au froid
◽️ Respiration lente et profonde
◽️ Faire vibrer les cordes vocales
◽️ Pleine conscience
◽️ Mouvement (eh oui, bouger, c’est vraiment la santé !)
 
Si c’est le cas, alors la réponse à ta question est positive !
 
Pratiques-tu déjà l’une des activités citées dans ce post ? 😌
 
 
 
#nerfvague #vagusnerve #naturopathie #systemenerveux #santenaturelle #microbiote #bienetre #mieuxetre #mieuxêtre #mieuxvivre #bienetreaunaturel #intestins #maladiechronique #inflammation #troublesdigestifs #digestion #respiration #gestiondustress #stresschronique #anxiété #dépression #déprime #fatiguechronique #mieuxdanssoncorps #mieuxdanssatete #hypertension #obésité #santementale #santephysique #santeaunaturel
le.corps.resilient
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Les raisons de stimuler son nerf vague quotidiennement sont nombreuses ! 👇 Tout d’abord, en activant le système nerveux parasympathique, la stimulation du nerf vague aide le corps à se détendre en le préparant au repos. Mais ce n’est pas tout ! Un bon tonus vagal permet également de mieux gérer son stress et ainsi, d’éviter la systématique réponse de « combat ou fuite » du système nerveux sympathique face à ce dernier (réponse qui peut vite finir par épuiser notre organisme). Cela s’explique par le fait qu’un nerf vague en bonne santé aide à : - Ralentir le rythme cardiaque et la respiration - Augmenter le péristaltisme intestinal (et donc à améliorer la digestion en facilitant le déplacement de la nourriture dans le système digestif) - Réduire les niveaux de cortisol (hormone du stress) et l’inflammation La stimulation de ce dernier est donc un geste santé indispensable à la résilience du corps ! Si tu te demandes si « telle ou telle chose » permet de stimuler ton nerf vague, demande-toi si elle peut-être reliée à l’une des cases suivantes : ◽️ Exposition au froid ◽️ Respiration lente et profonde ◽️ Faire vibrer les cordes vocales ◽️ Pleine conscience ◽️ Mouvement (eh oui, bouger, c’est vraiment la santé !) Si c’est le cas, alors la réponse à ta question est positive ! Pratiques-tu déjà l’une des activités citées dans ce post ? 😌 #nerfvague #vagusnerve #naturopathie #systemenerveux #santenaturelle #microbiote #bienetre #mieuxetre #mieuxêtre #mieuxvivre #bienetreaunaturel #intestins #maladiechronique #inflammation #troublesdigestifs #digestion #respiration #gestiondustress #stresschronique #anxiété #dépression #déprime #fatiguechronique #mieuxdanssoncorps #mieuxdanssatete #hypertension #obésité #santementale #santephysique #santeaunaturel
6 mois ago
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3/5
Ah, comme j’avais hâte de te parler du nerf vague !
 
Son nom vient du latin « vagus » qui signifie errer. Un nom bien choisi pour celui qui vagabonde partout à travers le corps : du cerveau à l’abdomen, en passant par le cou et la poitrine !
 
Bien qu’on parle de lui au singulier, le nerf vague se compose en réalité de deux nerfs : l’un situé à gauche, l’autre à droite.
 
Pour le reste, tout est dans le petit carrousel là-haut. 👆
 
Avais-tu déjà entendu parler du nerf vague ? Et si oui, sais-tu comment l’activer naturellement au quotidien ? (Si non, tu le sauras dès demain. 👀)
 
 
 
 
 
#nerfvague #vagusnerve #naturopathie #systemenerveux #santenaturelle #microbiote #bienetre #mieuxetre #mieuxêtre #mieuxvivre #bienetreaunaturel #intestins #maladiechronique #inflammation #troublesdigestifs #digestion #respiration #gestiondustress #stresschronique #anxiété #dépression #déprime #fatiguechronique #mieuxdanssoncorps #mieuxdanssatete #hypertension #obésité #santementale #santephysique #santeaunaturel
Ah, comme j’avais hâte de te parler du nerf vague !
 
Son nom vient du latin « vagus » qui signifie errer. Un nom bien choisi pour celui qui vagabonde partout à travers le corps : du cerveau à l’abdomen, en passant par le cou et la poitrine !
 
Bien qu’on parle de lui au singulier, le nerf vague se compose en réalité de deux nerfs : l’un situé à gauche, l’autre à droite.
 
Pour le reste, tout est dans le petit carrousel là-haut. 👆
 
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Bien qu’on parle de lui au singulier, le nerf vague se compose en réalité de deux nerfs : l’un situé à gauche, l’autre à droite.
 
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Avais-tu déjà entendu parler du nerf vague ? Et si oui, sais-tu comment l’activer naturellement au quotidien ? (Si non, tu le sauras dès demain. 👀)
 
 
 
 
 
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Bien qu’on parle de lui au singulier, le nerf vague se compose en réalité de deux nerfs : l’un situé à gauche, l’autre à droite.
 
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Ah, comme j’avais hâte de te parler du nerf vague ! Son nom vient du latin « vagus » qui signifie errer. Un nom bien choisi pour celui qui vagabonde partout à travers le corps : du cerveau à l’abdomen, en passant par le cou et la poitrine ! Bien qu’on parle de lui au singulier, le nerf vague se compose en réalité de deux nerfs : l’un situé à gauche, l’autre à droite. Pour le reste, tout est dans le petit carrousel là-haut. 👆 Avais-tu déjà entendu parler du nerf vague ? Et si oui, sais-tu comment l’activer naturellement au quotidien ? (Si non, tu le sauras dès demain. 👀) #nerfvague #vagusnerve #naturopathie #systemenerveux #santenaturelle #microbiote #bienetre #mieuxetre #mieuxêtre #mieuxvivre #bienetreaunaturel #intestins #maladiechronique #inflammation #troublesdigestifs #digestion #respiration #gestiondustress #stresschronique #anxiété #dépression #déprime #fatiguechronique #mieuxdanssoncorps #mieuxdanssatete #hypertension #obésité #santementale #santephysique #santeaunaturel
6 mois ago
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4/5
Cela fait un moment que tu te renseignes sur le syndrome de l’intestin irritable (SII) et tu te reconnais dans la majorité des symptômes ?
 
Il n’y a qu’une seule et unique marche à suivre pour savoir si tu as ce syndrome ou non, et la voici :
 
Consulter ton généraliste dans le but de pouvoir…
↓
Consulter un gastro-entérologue qui va réaliser un diagnostic d’exclusion (Crohn, etc).
↓
Si les résultats du diagnostic d’exclusion sont négatifs : recours aux critères de diagnostic de Rome IV.
↓
Si les résultats à ces derniers sont positifs : tu es atteint(e) du SII.
 
Et si c’est le cas : no panic. ❌
 
Si tu me suis en story, tu as sûrement vu que je travaillais actuellement sur un accompagnement pour aider les personnes atteintes du SII à mieux vivre avec ce dernier.
 
La création de ce programme nécessite du temps (ce qui explique en partie mon absence par ici) et de la rigueur ; il ne sortira donc pas de sitôt mais si tu ne souhaites pas passer à côté, n’hésite pas à me faire signe et je reviendrai vers toi une fois celui-ci disponible. 👋
le.corps.resilient
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Cela fait un moment que tu te renseignes sur le syndrome de l’intestin irritable (SII) et tu te reconnais dans la majorité des symptômes ?   Il n’y a qu’une seule et unique marche à suivre pour savoir si tu as ce syndrome ou non, et la voici :   Consulter ton généraliste dans le but de pouvoir… ↓ Consulter un gastro-entérologue qui va réaliser un diagnostic d’exclusion (Crohn, etc). ↓ Si les résultats du diagnostic d’exclusion sont négatifs : recours aux critères de diagnostic de Rome IV. ↓ Si les résultats à ces derniers sont positifs : tu es atteint(e) du SII.   Et si c’est le cas : no panic. ❌   Si tu me suis en story, tu as sûrement vu que je travaillais actuellement sur un accompagnement pour aider les personnes atteintes du SII à mieux vivre avec ce dernier.   La création de ce programme nécessite du temps (ce qui explique en partie mon absence par ici) et de la rigueur ; il ne sortira donc pas de sitôt mais si tu ne souhaites pas passer à côté, n’hésite pas à me faire signe et je reviendrai vers toi une fois celui-ci disponible. 👋
7 mois ago
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5/5
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