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Troubles du sommeil : conseils pour mieux dormir

19 mai 2022

Je ne sais pas ce qu’il en est pour toi mais, personnellement, je connais plus de personnes ayant des troubles du sommeil que l’inverse. C’est d’ailleurs l’une des raisons qui m’ont poussée à rédiger cet article sur le sommeil afin de répondre à une question que beaucoup se posent : comment bien dormir ?

Déjà, le train du sommeil, c’est quoi ?

Le train du sommeil correspond à un cycle du sommeil composé de 3 principales phases et durant, en moyenne, 90 minutes. Une nuit du sommeil compte, elle, 3 à 6 trains.

Le début du voyage : l’endormissement

L’endormissement est rendu possible par la mélatonine, hormone du sommeil sécrétée dans l’obscurité par la glande pinéale et synthétisée à partir de la sérotonine, elle-même produite à partir du tryptophane, un acide aminé essentiel.

Si tu te demandes « comment s’endormir plus facilement« , voici quelques conseils pour t’y aider :

  • Aller se coucher dès que les premiers signaux de fatigue se font ressentir (bâillement, yeux lourds et/ou qui piquent, frissons, etc). Si tu luttes pour ne pas t’endormir, tu risques de rater ton premier train du sommeil et ainsi, de décaler tout ton rythme circadien.
  • Se couper de toutes les sources de lumière bleue (télé, tablette, téléphone, etc) au moins une heure avant ton heure de coucher habituelle. Je sais, ça peut paraître relou, mais cette coupure est nécessaire pour que la mélatonine soit sécrétée correctement.
  • Consommer des aliments riches en tryptophane : dinde, œufs, banane, pois cassés, noix, graines de tournesol…
  • Ne pas trop chauffer la pièce dans laquelle tu dors. En effet, la baisse de la température corporelle est indispensable à l’endormissement. La température recommandée est de 18°C.

La phase 1 : le sommeil lent léger

C’est le moment où tes muscles se détendent et ta respiration devient régulière : ton organisme entame une récupération physique.

La phase 2 : le sommeil lent profond

Ton rythme cardiaque et ta respiration ralentissent, ta température corporelle diminue et l’activité musculaire ainsi que les mouvements oculaires cessent. Pendant ce temps-là, ton immunité se renforce, ta mémoire s’améliore avec l’assimilation des informations reçues tout au long de la journée et la sécrétion d’hormones est favorisée.

La phase 3 : le sommeil paradoxal

La meilleure pour la fin ? Je ne sais pas mais, en tout cas, il s’agit de la phase suscitant le plus d’intérêt. Et pour cause ; on y retrouve les rêves ! Durant cette phase, les mouvements oculaires reviennent : on parle de R.E.M. (Rapid Eye Movements). Ton rythme cardiaque et ta respiration varient et, pendant ce temps, les capacités de ta mémoire sont augmentées.

Quelques conseils pour bien dormir

Tu as du mal à t’endormir ?

Tu te réveilles la nuit ou bien tu as des insomnies ?

Au réveil, tu ne te sens pas reposé(e) ?

Voici quelques pistes qui, en parallèle d’un suivi avec un professionnel de santé, pourront t’aider à améliorer ton sommeil :

  • Consommer des sources de choline qui permet la fabrication de l’acétylcholine, un neurotransmetteur indispensable au bon fonctionnement du cerveau et de la mémoire  : germe de blé, pollen frais, œufs, foie, crevettes, amandes, brocolis…
  • Pratiquer une activité physique régulière et adaptée afin d’augmenter la sécrétion de sérotonine, impliquée dans l’endormissement. Cette dernière permet également de réguler nos comportements alimentaires et sexuels, l’anxiété ou encore notre sensibilité à la douleur.
  • Envisager une cure de Griffonia Simplicifolia (uniquement sur accord médical) ; cette plante médicinale permet l’apport de 5-HTP qui, en franchissant la barrière hémato-encéphalique, se transforme dans le cerveau en sérotonine.
  • Diffuser des huiles essentielles 30 minutes avant le coucher. Après vérification des contre-indications, tu peux par exemple diffuser de l’huile essentielle de Petit Grain Bigarade en versant le nombre de gouttes indiqué sur la notice de ton appareil. Si tu n’as pas de diffuseur, tu peux aussi en verser 2-3 gouttes sur ton oreiller ou encore, en mettre une goutte sur tes poignets et les inhaler 3 fois profondément. N’oublie pas de faire une pause d’une semaine après trois semaines d’utilisation. Un professionnel formé à l’aromathérapie pourra te conseiller d’autres huiles essentielles et synergies adaptées à cette problématique.

Enfin, si tu as répondu « oui » à l’une des questions posées plus haut, je ne peux que te conseiller de te faire accompagner par un professionnel de santé et/ou du bien-être afin de chercher et comprendre la cause de ce trouble dans le but d’y remédier et d’éviter ses conséquences.

Les conséquences d’un trouble du sommeil

Le manque de sommeil a de nombreuses répercussions sur l’organisme. Parmi elles : la baisse de l’immunité, le risque de surpoids et/ou de diabète de type 2, l’accentuation du stress et de l’anxiété, l’altération des fonctions cognitives (mémoire, attention, concentration), l’aggravation ou le développement d’une dépression, l’augmentation de la frilosité et des radicaux libres (responsables de nombreuses pathologies), le développement de divers troubles de santé ou encore le frein de la croissance chez l’enfant.

C’est pourquoi, si cela fait des mois voire des années que tu laisses traîner un manque de sommeil, j’espère que cet article sera le déclic et t’amènera à prendre rendez-vous avec le professionnel dont tu as besoin. Bien dormir est indispensable à une bonne santé.

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TAGS:sommeil
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2 mois ago
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1/5
Le problème, ce n’est pas de boire un verre d’alcool de temps en temps, mais d’insister pour que quelqu’un en fasse de même.
 
Quand on sait que l’alcool est l’une des substances psychoactives les plus consommées et constituant le 3ème facteur de risque de maladie et d’invalidité au monde, on peut affirmer que la pression sociale liée à la consommation d’alcool est un véritable fléau.
 
Bien que certaines études (dont celles sur lesquelles je me suis appuyée pour la rédaction de ce post) confèrent à l’alcool certains facteurs protecteurs, notamment contre le développement du goitre (élargissement anormal de la glande thyroïde) ou encore dans la prévention de l'hypothyroïdie auto-immune et d’autres pathologies, et remettent en doute la « nocivité dès le premier verre », on ne peut pas nier ses effets délétères sur l’ensemble du corps, comme on ne peut pas, à mon sens, continuer de tolérer la pression sociale liée à la consommation d’alcool.
 
Alors si tu te sens concerné(e) car trop souvent confronté(e) à cette pression, n’hésite pas à partager ce post autour de toi.
 
P.S. : Pousser son pote à boire un verre alors qu’il n’en a pas envie, ce n’est vraiment pas lui vouloir du bien. 😉
 
Sources utilisées :
 
• Podcast « #011 The Systemics Effects of Alcohol » avec @dr.stacy.nd. Disponible sur Spotify.
 
• « Alcoholism and its effects on the central nervous system », Sukhes Mukheriee.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23713737/
 
• « Alcohol and Health Series: Alcohol and the Body », Alberta Health Services.
https://www.albertahealthservices.ca/assets/info/amh/if-amh-alcohol-and-the-human-body.pdf 
 
• « Impact of alcohol use on thyroid function », Yatan Pal Singh Balhara et Koushik Sinha Deb.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3743356/#:~:text=The%20fact%20that%20alcohol%20causes,stimulation%20is%20open%20to%20speculation 
 
• « The Impact Of Alcohol Use On Thyroid Function », Katie Wilkinson.
https://www.palomahealth.com/learn/the-impact-of-alcohol-use-on-thyroid-function
 
• « Peer Pressure and Alcohol », Matt Gonzales.
https://www.drugrehab.com/addiction/alcohol/peer-pressure/
Le problème, ce n’est pas de boire un verre d’alcool de temps en temps, mais d’insister pour que quelqu’un en fasse de même.
 
Quand on sait que l’alcool est l’une des substances psychoactives les plus consommées et constituant le 3ème facteur de risque de maladie et d’invalidité au monde, on peut affirmer que la pression sociale liée à la consommation d’alcool est un véritable fléau.
 
Bien que certaines études (dont celles sur lesquelles je me suis appuyée pour la rédaction de ce post) confèrent à l’alcool certains facteurs protecteurs, notamment contre le développement du goitre (élargissement anormal de la glande thyroïde) ou encore dans la prévention de l'hypothyroïdie auto-immune et d’autres pathologies, et remettent en doute la « nocivité dès le premier verre », on ne peut pas nier ses effets délétères sur l’ensemble du corps, comme on ne peut pas, à mon sens, continuer de tolérer la pression sociale liée à la consommation d’alcool.
 
Alors si tu te sens concerné(e) car trop souvent confronté(e) à cette pression, n’hésite pas à partager ce post autour de toi.
 
P.S. : Pousser son pote à boire un verre alors qu’il n’en a pas envie, ce n’est vraiment pas lui vouloir du bien. 😉
 
Sources utilisées :
 
• Podcast « #011 The Systemics Effects of Alcohol » avec @dr.stacy.nd. Disponible sur Spotify.
 
• « Alcoholism and its effects on the central nervous system », Sukhes Mukheriee.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23713737/
 
• « Alcohol and Health Series: Alcohol and the Body », Alberta Health Services.
https://www.albertahealthservices.ca/assets/info/amh/if-amh-alcohol-and-the-human-body.pdf 
 
• « Impact of alcohol use on thyroid function », Yatan Pal Singh Balhara et Koushik Sinha Deb.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3743356/#:~:text=The%20fact%20that%20alcohol%20causes,stimulation%20is%20open%20to%20speculation 
 
• « The Impact Of Alcohol Use On Thyroid Function », Katie Wilkinson.
https://www.palomahealth.com/learn/the-impact-of-alcohol-use-on-thyroid-function
 
• « Peer Pressure and Alcohol », Matt Gonzales.
https://www.drugrehab.com/addiction/alcohol/peer-pressure/
Le problème, ce n’est pas de boire un verre d’alcool de temps en temps, mais d’insister pour que quelqu’un en fasse de même.
 
Quand on sait que l’alcool est l’une des substances psychoactives les plus consommées et constituant le 3ème facteur de risque de maladie et d’invalidité au monde, on peut affirmer que la pression sociale liée à la consommation d’alcool est un véritable fléau.
 
Bien que certaines études (dont celles sur lesquelles je me suis appuyée pour la rédaction de ce post) confèrent à l’alcool certains facteurs protecteurs, notamment contre le développement du goitre (élargissement anormal de la glande thyroïde) ou encore dans la prévention de l'hypothyroïdie auto-immune et d’autres pathologies, et remettent en doute la « nocivité dès le premier verre », on ne peut pas nier ses effets délétères sur l’ensemble du corps, comme on ne peut pas, à mon sens, continuer de tolérer la pression sociale liée à la consommation d’alcool.
 
Alors si tu te sens concerné(e) car trop souvent confronté(e) à cette pression, n’hésite pas à partager ce post autour de toi.
 
P.S. : Pousser son pote à boire un verre alors qu’il n’en a pas envie, ce n’est vraiment pas lui vouloir du bien. 😉
 
Sources utilisées :
 
• Podcast « #011 The Systemics Effects of Alcohol » avec @dr.stacy.nd. Disponible sur Spotify.
 
• « Alcoholism and its effects on the central nervous system », Sukhes Mukheriee.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23713737/
 
• « Alcohol and Health Series: Alcohol and the Body », Alberta Health Services.
https://www.albertahealthservices.ca/assets/info/amh/if-amh-alcohol-and-the-human-body.pdf 
 
• « Impact of alcohol use on thyroid function », Yatan Pal Singh Balhara et Koushik Sinha Deb.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3743356/#:~:text=The%20fact%20that%20alcohol%20causes,stimulation%20is%20open%20to%20speculation 
 
• « The Impact Of Alcohol Use On Thyroid Function », Katie Wilkinson.
https://www.palomahealth.com/learn/the-impact-of-alcohol-use-on-thyroid-function
 
• « Peer Pressure and Alcohol », Matt Gonzales.
https://www.drugrehab.com/addiction/alcohol/peer-pressure/
Le problème, ce n’est pas de boire un verre d’alcool de temps en temps, mais d’insister pour que quelqu’un en fasse de même.
 
Quand on sait que l’alcool est l’une des substances psychoactives les plus consommées et constituant le 3ème facteur de risque de maladie et d’invalidité au monde, on peut affirmer que la pression sociale liée à la consommation d’alcool est un véritable fléau.
 
Bien que certaines études (dont celles sur lesquelles je me suis appuyée pour la rédaction de ce post) confèrent à l’alcool certains facteurs protecteurs, notamment contre le développement du goitre (élargissement anormal de la glande thyroïde) ou encore dans la prévention de l'hypothyroïdie auto-immune et d’autres pathologies, et remettent en doute la « nocivité dès le premier verre », on ne peut pas nier ses effets délétères sur l’ensemble du corps, comme on ne peut pas, à mon sens, continuer de tolérer la pression sociale liée à la consommation d’alcool.
 
Alors si tu te sens concerné(e) car trop souvent confronté(e) à cette pression, n’hésite pas à partager ce post autour de toi.
 
P.S. : Pousser son pote à boire un verre alors qu’il n’en a pas envie, ce n’est vraiment pas lui vouloir du bien. 😉
 
Sources utilisées :
 
• Podcast « #011 The Systemics Effects of Alcohol » avec @dr.stacy.nd. Disponible sur Spotify.
 
• « Alcoholism and its effects on the central nervous system », Sukhes Mukheriee.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23713737/
 
• « Alcohol and Health Series: Alcohol and the Body », Alberta Health Services.
https://www.albertahealthservices.ca/assets/info/amh/if-amh-alcohol-and-the-human-body.pdf 
 
• « Impact of alcohol use on thyroid function », Yatan Pal Singh Balhara et Koushik Sinha Deb.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3743356/#:~:text=The%20fact%20that%20alcohol%20causes,stimulation%20is%20open%20to%20speculation 
 
• « The Impact Of Alcohol Use On Thyroid Function », Katie Wilkinson.
https://www.palomahealth.com/learn/the-impact-of-alcohol-use-on-thyroid-function
 
• « Peer Pressure and Alcohol », Matt Gonzales.
https://www.drugrehab.com/addiction/alcohol/peer-pressure/
Le problème, ce n’est pas de boire un verre d’alcool de temps en temps, mais d’insister pour que quelqu’un en fasse de même.
 
Quand on sait que l’alcool est l’une des substances psychoactives les plus consommées et constituant le 3ème facteur de risque de maladie et d’invalidité au monde, on peut affirmer que la pression sociale liée à la consommation d’alcool est un véritable fléau.
 
Bien que certaines études (dont celles sur lesquelles je me suis appuyée pour la rédaction de ce post) confèrent à l’alcool certains facteurs protecteurs, notamment contre le développement du goitre (élargissement anormal de la glande thyroïde) ou encore dans la prévention de l'hypothyroïdie auto-immune et d’autres pathologies, et remettent en doute la « nocivité dès le premier verre », on ne peut pas nier ses effets délétères sur l’ensemble du corps, comme on ne peut pas, à mon sens, continuer de tolérer la pression sociale liée à la consommation d’alcool.
 
Alors si tu te sens concerné(e) car trop souvent confronté(e) à cette pression, n’hésite pas à partager ce post autour de toi.
 
P.S. : Pousser son pote à boire un verre alors qu’il n’en a pas envie, ce n’est vraiment pas lui vouloir du bien. 😉
 
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• « Alcoholism and its effects on the central nervous system », Sukhes Mukheriee.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23713737/
 
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• « The Impact Of Alcohol Use On Thyroid Function », Katie Wilkinson.
https://www.palomahealth.com/learn/the-impact-of-alcohol-use-on-thyroid-function
 
• « Peer Pressure and Alcohol », Matt Gonzales.
https://www.drugrehab.com/addiction/alcohol/peer-pressure/
Le problème, ce n’est pas de boire un verre d’alcool de temps en temps, mais d’insister pour que quelqu’un en fasse de même.
 
Quand on sait que l’alcool est l’une des substances psychoactives les plus consommées et constituant le 3ème facteur de risque de maladie et d’invalidité au monde, on peut affirmer que la pression sociale liée à la consommation d’alcool est un véritable fléau.
 
Bien que certaines études (dont celles sur lesquelles je me suis appuyée pour la rédaction de ce post) confèrent à l’alcool certains facteurs protecteurs, notamment contre le développement du goitre (élargissement anormal de la glande thyroïde) ou encore dans la prévention de l'hypothyroïdie auto-immune et d’autres pathologies, et remettent en doute la « nocivité dès le premier verre », on ne peut pas nier ses effets délétères sur l’ensemble du corps, comme on ne peut pas, à mon sens, continuer de tolérer la pression sociale liée à la consommation d’alcool.
 
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P.S. : Pousser son pote à boire un verre alors qu’il n’en a pas envie, ce n’est vraiment pas lui vouloir du bien. 😉
 
Sources utilisées :
 
• Podcast « #011 The Systemics Effects of Alcohol » avec @dr.stacy.nd. Disponible sur Spotify.
 
• « Alcoholism and its effects on the central nervous system », Sukhes Mukheriee.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23713737/
 
• « Alcohol and Health Series: Alcohol and the Body », Alberta Health Services.
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• « Impact of alcohol use on thyroid function », Yatan Pal Singh Balhara et Koushik Sinha Deb.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3743356/#:~:text=The%20fact%20that%20alcohol%20causes,stimulation%20is%20open%20to%20speculation 
 
• « The Impact Of Alcohol Use On Thyroid Function », Katie Wilkinson.
https://www.palomahealth.com/learn/the-impact-of-alcohol-use-on-thyroid-function
 
• « Peer Pressure and Alcohol », Matt Gonzales.
https://www.drugrehab.com/addiction/alcohol/peer-pressure/
Le problème, ce n’est pas de boire un verre d’alcool de temps en temps, mais d’insister pour que quelqu’un en fasse de même.
 
Quand on sait que l’alcool est l’une des substances psychoactives les plus consommées et constituant le 3ème facteur de risque de maladie et d’invalidité au monde, on peut affirmer que la pression sociale liée à la consommation d’alcool est un véritable fléau.
 
Bien que certaines études (dont celles sur lesquelles je me suis appuyée pour la rédaction de ce post) confèrent à l’alcool certains facteurs protecteurs, notamment contre le développement du goitre (élargissement anormal de la glande thyroïde) ou encore dans la prévention de l'hypothyroïdie auto-immune et d’autres pathologies, et remettent en doute la « nocivité dès le premier verre », on ne peut pas nier ses effets délétères sur l’ensemble du corps, comme on ne peut pas, à mon sens, continuer de tolérer la pression sociale liée à la consommation d’alcool.
 
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• « Alcoholism and its effects on the central nervous system », Sukhes Mukheriee.
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https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3743356/#:~:text=The%20fact%20that%20alcohol%20causes,stimulation%20is%20open%20to%20speculation 
 
• « The Impact Of Alcohol Use On Thyroid Function », Katie Wilkinson.
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• « Peer Pressure and Alcohol », Matt Gonzales.
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https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23713737/
 
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• « The Impact Of Alcohol Use On Thyroid Function », Katie Wilkinson.
https://www.palomahealth.com/learn/the-impact-of-alcohol-use-on-thyroid-function
 
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https://www.drugrehab.com/addiction/alcohol/peer-pressure/
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https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3743356/#:~:text=The%20fact%20that%20alcohol%20causes,stimulation%20is%20open%20to%20speculation 
 
• « The Impact Of Alcohol Use On Thyroid Function », Katie Wilkinson.
https://www.palomahealth.com/learn/the-impact-of-alcohol-use-on-thyroid-function
 
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Le problème, ce n’est pas de boire un verre d’alcool de temps en temps, mais d’insister pour que quelqu’un en fasse de même. Quand on sait que l’alcool est l’une des substances psychoactives les plus consommées et constituant le 3ème facteur de risque de maladie et d’invalidité au monde, on peut affirmer que la pression sociale liée à la consommation d’alcool est un véritable fléau. Bien que certaines études (dont celles sur lesquelles je me suis appuyée pour la rédaction de ce post) confèrent à l’alcool certains facteurs protecteurs, notamment contre le développement du goitre (élargissement anormal de la glande thyroïde) ou encore dans la prévention de l'hypothyroïdie auto-immune et d’autres pathologies, et remettent en doute la « nocivité dès le premier verre », on ne peut pas nier ses effets délétères sur l’ensemble du corps, comme on ne peut pas, à mon sens, continuer de tolérer la pression sociale liée à la consommation d’alcool. Alors si tu te sens concerné(e) car trop souvent confronté(e) à cette pression, n’hésite pas à partager ce post autour de toi. P.S. : Pousser son pote à boire un verre alors qu’il n’en a pas envie, ce n’est vraiment pas lui vouloir du bien. 😉 Sources utilisées : • Podcast « #011 The Systemics Effects of Alcohol » avec @dr.stacy.nd. Disponible sur Spotify. • « Alcoholism and its effects on the central nervous system », Sukhes Mukheriee. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23713737/ • « Alcohol and Health Series: Alcohol and the Body », Alberta Health Services. https://www.albertahealthservices.ca/assets/info/amh/if-amh-alcohol-and-the-human-body.pdf • « Impact of alcohol use on thyroid function », Yatan Pal Singh Balhara et Koushik Sinha Deb. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3743356/#:~:text=The%20fact%20that%20alcohol%20causes,stimulation%20is%20open%20to%20speculation • « The Impact Of Alcohol Use On Thyroid Function », Katie Wilkinson. https://www.palomahealth.com/learn/the-impact-of-alcohol-use-on-thyroid-function • « Peer Pressure and Alcohol », Matt Gonzales. https://www.drugrehab.com/addiction/alcohol/peer-pressure/
3 mois ago
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2/5
Les raisons de stimuler son nerf vague quotidiennement sont nombreuses ! 👇
 
Tout d’abord, en activant le système nerveux parasympathique, la stimulation du nerf vague aide le corps à se détendre en le préparant au repos.
 
Mais ce n’est pas tout !
 
Un bon tonus vagal permet également de mieux gérer son stress et ainsi, d’éviter la systématique réponse de « combat ou fuite » du système nerveux sympathique face à ce dernier (réponse qui peut vite finir par épuiser notre organisme).
 
Cela s’explique par le fait qu’un nerf vague en bonne santé aide à :
 
- Ralentir le rythme cardiaque et la respiration
- Augmenter le péristaltisme intestinal (et donc à améliorer la digestion en facilitant le déplacement de la nourriture dans le système digestif)
- Réduire les niveaux de cortisol (hormone du stress) et l’inflammation
 
La stimulation de ce dernier est donc un geste santé indispensable à la résilience du corps !
 
Si tu te demandes si « telle ou telle chose » permet de stimuler ton nerf vague, demande-toi si elle peut-être reliée à l’une des cases suivantes :
 
◽️ Exposition au froid
◽️ Respiration lente et profonde
◽️ Faire vibrer les cordes vocales
◽️ Pleine conscience
◽️ Mouvement (eh oui, bouger, c’est vraiment la santé !)
 
Si c’est le cas, alors la réponse à ta question est positive !
 
Pratiques-tu déjà l’une des activités citées dans ce post ? 😌
 
 
 
#nerfvague #vagusnerve #naturopathie #systemenerveux #santenaturelle #microbiote #bienetre #mieuxetre #mieuxêtre #mieuxvivre #bienetreaunaturel #intestins #maladiechronique #inflammation #troublesdigestifs #digestion #respiration #gestiondustress #stresschronique #anxiété #dépression #déprime #fatiguechronique #mieuxdanssoncorps #mieuxdanssatete #hypertension #obésité #santementale #santephysique #santeaunaturel
le.corps.resilient
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Les raisons de stimuler son nerf vague quotidiennement sont nombreuses ! 👇 Tout d’abord, en activant le système nerveux parasympathique, la stimulation du nerf vague aide le corps à se détendre en le préparant au repos. Mais ce n’est pas tout ! Un bon tonus vagal permet également de mieux gérer son stress et ainsi, d’éviter la systématique réponse de « combat ou fuite » du système nerveux sympathique face à ce dernier (réponse qui peut vite finir par épuiser notre organisme). Cela s’explique par le fait qu’un nerf vague en bonne santé aide à : - Ralentir le rythme cardiaque et la respiration - Augmenter le péristaltisme intestinal (et donc à améliorer la digestion en facilitant le déplacement de la nourriture dans le système digestif) - Réduire les niveaux de cortisol (hormone du stress) et l’inflammation La stimulation de ce dernier est donc un geste santé indispensable à la résilience du corps ! Si tu te demandes si « telle ou telle chose » permet de stimuler ton nerf vague, demande-toi si elle peut-être reliée à l’une des cases suivantes : ◽️ Exposition au froid ◽️ Respiration lente et profonde ◽️ Faire vibrer les cordes vocales ◽️ Pleine conscience ◽️ Mouvement (eh oui, bouger, c’est vraiment la santé !) Si c’est le cas, alors la réponse à ta question est positive ! Pratiques-tu déjà l’une des activités citées dans ce post ? 😌 #nerfvague #vagusnerve #naturopathie #systemenerveux #santenaturelle #microbiote #bienetre #mieuxetre #mieuxêtre #mieuxvivre #bienetreaunaturel #intestins #maladiechronique #inflammation #troublesdigestifs #digestion #respiration #gestiondustress #stresschronique #anxiété #dépression #déprime #fatiguechronique #mieuxdanssoncorps #mieuxdanssatete #hypertension #obésité #santementale #santephysique #santeaunaturel
4 mois ago
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3/5
Ah, comme j’avais hâte de te parler du nerf vague !
 
Son nom vient du latin « vagus » qui signifie errer. Un nom bien choisi pour celui qui vagabonde partout à travers le corps : du cerveau à l’abdomen, en passant par le cou et la poitrine !
 
Bien qu’on parle de lui au singulier, le nerf vague se compose en réalité de deux nerfs : l’un situé à gauche, l’autre à droite.
 
Pour le reste, tout est dans le petit carrousel là-haut. 👆
 
Avais-tu déjà entendu parler du nerf vague ? Et si oui, sais-tu comment l’activer naturellement au quotidien ? (Si non, tu le sauras dès demain. 👀)
 
 
 
 
 
#nerfvague #vagusnerve #naturopathie #systemenerveux #santenaturelle #microbiote #bienetre #mieuxetre #mieuxêtre #mieuxvivre #bienetreaunaturel #intestins #maladiechronique #inflammation #troublesdigestifs #digestion #respiration #gestiondustress #stresschronique #anxiété #dépression #déprime #fatiguechronique #mieuxdanssoncorps #mieuxdanssatete #hypertension #obésité #santementale #santephysique #santeaunaturel
Ah, comme j’avais hâte de te parler du nerf vague !
 
Son nom vient du latin « vagus » qui signifie errer. Un nom bien choisi pour celui qui vagabonde partout à travers le corps : du cerveau à l’abdomen, en passant par le cou et la poitrine !
 
Bien qu’on parle de lui au singulier, le nerf vague se compose en réalité de deux nerfs : l’un situé à gauche, l’autre à droite.
 
Pour le reste, tout est dans le petit carrousel là-haut. 👆
 
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Bien qu’on parle de lui au singulier, le nerf vague se compose en réalité de deux nerfs : l’un situé à gauche, l’autre à droite.
 
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Avais-tu déjà entendu parler du nerf vague ? Et si oui, sais-tu comment l’activer naturellement au quotidien ? (Si non, tu le sauras dès demain. 👀)
 
 
 
 
 
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Bien qu’on parle de lui au singulier, le nerf vague se compose en réalité de deux nerfs : l’un situé à gauche, l’autre à droite.
 
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Bien qu’on parle de lui au singulier, le nerf vague se compose en réalité de deux nerfs : l’un situé à gauche, l’autre à droite.
 
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Ah, comme j’avais hâte de te parler du nerf vague ! Son nom vient du latin « vagus » qui signifie errer. Un nom bien choisi pour celui qui vagabonde partout à travers le corps : du cerveau à l’abdomen, en passant par le cou et la poitrine ! Bien qu’on parle de lui au singulier, le nerf vague se compose en réalité de deux nerfs : l’un situé à gauche, l’autre à droite. Pour le reste, tout est dans le petit carrousel là-haut. 👆 Avais-tu déjà entendu parler du nerf vague ? Et si oui, sais-tu comment l’activer naturellement au quotidien ? (Si non, tu le sauras dès demain. 👀) #nerfvague #vagusnerve #naturopathie #systemenerveux #santenaturelle #microbiote #bienetre #mieuxetre #mieuxêtre #mieuxvivre #bienetreaunaturel #intestins #maladiechronique #inflammation #troublesdigestifs #digestion #respiration #gestiondustress #stresschronique #anxiété #dépression #déprime #fatiguechronique #mieuxdanssoncorps #mieuxdanssatete #hypertension #obésité #santementale #santephysique #santeaunaturel
4 mois ago
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4/5
Cela fait un moment que tu te renseignes sur le syndrome de l’intestin irritable (SII) et tu te reconnais dans la majorité des symptômes ?
 
Il n’y a qu’une seule et unique marche à suivre pour savoir si tu as ce syndrome ou non, et la voici :
 
Consulter ton généraliste dans le but de pouvoir…
↓
Consulter un gastro-entérologue qui va réaliser un diagnostic d’exclusion (Crohn, etc).
↓
Si les résultats du diagnostic d’exclusion sont négatifs : recours aux critères de diagnostic de Rome IV.
↓
Si les résultats à ces derniers sont positifs : tu es atteint(e) du SII.
 
Et si c’est le cas : no panic. ❌
 
Si tu me suis en story, tu as sûrement vu que je travaillais actuellement sur un accompagnement pour aider les personnes atteintes du SII à mieux vivre avec ce dernier.
 
La création de ce programme nécessite du temps (ce qui explique en partie mon absence par ici) et de la rigueur ; il ne sortira donc pas de sitôt mais si tu ne souhaites pas passer à côté, n’hésite pas à me faire signe et je reviendrai vers toi une fois celui-ci disponible. 👋
le.corps.resilient
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Cela fait un moment que tu te renseignes sur le syndrome de l’intestin irritable (SII) et tu te reconnais dans la majorité des symptômes ?   Il n’y a qu’une seule et unique marche à suivre pour savoir si tu as ce syndrome ou non, et la voici :   Consulter ton généraliste dans le but de pouvoir… ↓ Consulter un gastro-entérologue qui va réaliser un diagnostic d’exclusion (Crohn, etc). ↓ Si les résultats du diagnostic d’exclusion sont négatifs : recours aux critères de diagnostic de Rome IV. ↓ Si les résultats à ces derniers sont positifs : tu es atteint(e) du SII.   Et si c’est le cas : no panic. ❌   Si tu me suis en story, tu as sûrement vu que je travaillais actuellement sur un accompagnement pour aider les personnes atteintes du SII à mieux vivre avec ce dernier.   La création de ce programme nécessite du temps (ce qui explique en partie mon absence par ici) et de la rigueur ; il ne sortira donc pas de sitôt mais si tu ne souhaites pas passer à côté, n’hésite pas à me faire signe et je reviendrai vers toi une fois celui-ci disponible. 👋
5 mois ago
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5/5
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